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Observations sur la traduction de quelques vers arabes; par le Scheïkh Mouhammed Tantawy. (Lu le 10 octobre 1851.) // Mélanges asiatiques. Tirés du Bulletin historico-philologique de l’Académie Impériale des sciences de St.-Pétersbourg. Tome I. 4me livraison. St.-Pétersbourg: de l’Imprimerie de l’Academie Impériale des Sciences, 1849. P. 474—495.


Pour étudier et bien comprendre la poésie arabe, il faut d’abord connaître suffisamment la langue et la grammaire, c’est-à-dire la partie mécanique de cette poésie. 11 faut ensuite être pénétré de son esprit, et avoir étudié l'histoire, les dogmes religieux, les fables, les contes des Arabes; car, sans cette connaissance préliminaire, on ne peut comprendre une quantité d’allusions, de locutions proverbiales, de jeux de mots, de calembours, et, pour l’homme qui ne serait pas ainsi préparé, les vers perdraient une grande partie de leur valeur. Chacun sait d’ailleurs que toute langue poétique perd beaucoup quand on la fait passer dans une autre, et que souvent le plus grand mérite des vers consiste dans la forme, et dans l’expression. Et cela est surtout vrai de la poésie arabe. Pour pouvoir l’apprécier convenablement, il faut donc non seulement saisir parfaitement la valeur de chaque terme, mais encore n’étre étranger à aucune nuance, à aucun détail de son organisation; c’est là un champ ouvert à de longues études, et le travail n’est pas facile...

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